Voici les prix des abonnements les plus chers et les moins chers de JPL

Quel meilleur moyen pour assister aux rencontres de son équipe favorite que de s’abonner ? Toutefois, d’un club à l’autre, cette méthode est plus ou moins onéreuse. Voici un top 5 des clubs les plus chers et les moins chers de Jupiler Pro League.

Combien cela coute-t-il de supporter son club toute la saison ? D’un club à l’autre, les prix peuvent varier fortement. Sans compter que chaque équipe propose également différentes formules selon la tribune, le bloc ou l’âge. Difficile d’y voir clair ? Nous nous sommes donc lancés dans l’exercice de comparer les abonnements des seize clubs de Jupiler Pro League pour voir qui proposait les plus chers et, à l’inverse, qui offrait les tarifs les plus bas.

Pour comparer au mieux, nous nous sommes basés sur le prix plein affiché sans la ristourne généralement accordée aux clubs de supporters. À partir de là, nous avons isolé la formule la plus onéreuse, d’une part, et la moins chère, d’autre part, pour chaque club.

Le Club de Bruges le plus cher

C’est chez le champion en titre qu’on trouve l’offre la plus chère possible. Si les Gazelles proposent un abonnement à 240€, ils ont surtout une formule à 1040€ l’année. Personne ne fait « mieux » que les Brugeois cette saison.

Le club qui s’en rapproche le plus, c’est… Saint-Trond. L’abonnement le plus cher pour assister aux matchs des Canaris vous coûtera tout de même 990€. Une formule qui comprend la phase classique et les play-offs 2 mais pas d’éventuels play-offs 1. Une excellente saison des Limbourgeois pourrait donc faire passer la barre des 1000€ l’année.

Sur le podium, Noblesse Oblige, on retrouve le Sporting d’Anderlecht. Au Lotto Park, l’abonnement le plus cher, dans les blocs les mieux situés, vous est facturé 850€. Là aussi, comme à Bruges, c’est une formule qui ne comprend que les rencontres de la phase classique.

Juste derrière les Mauves, on retrouve Malines. Les Sang et Or proposent leur abonnement le plus cher à 834€. Un tarif un peu bizarre pour les quinze matchs de la phase classique. Mais à Malines, on propose aussi une formule permettant de déjà réserver ses places pour les play-offs. Et là, la note peut monter jusqu’à 1112€ ! Enfin, cinquième équipe à proposer l’abonnement le plus cher de Belgique, le Cercle de Bruges. Comptez 705€ si vous voulez vous offrir les places les plus coûteuses.

Courtrai le moins cher

À l’inverse, si vous voulez assister aux quinze matchs de la phase classique pour pas grand-chose, c’est à Courtrai qu’il faut se rendre. Les Kerels proposent un abonnement à… 159€. Imbattable.

À peine plus cher, l’abonnement le plus abordable à Charleroi est fixé à 170€. Détail amusant avec les Carolos, leur abonnement le plus cher, à 350€, reste à un prix plus petit que l’abonnement le moins cher à l’Antwerp (375€).

Dans le Limbourg, on aime les grands écarts puisque, sur la troisième marche du podium, on retrouve… Saint-Trond. 175€ pour assister jusqu’à dix-huit matchs en cas de play-offs 2, c’est une aubaine.

Westerlo propose également un abonnement juste sous la barre des 200€ en tarif plein. Pour 195€ l’année, direction le Kuipje où les rencontres de phase classique et de play-offs (peu importe lesquels) sont comprises.

Quant aux cinquièmes clubs les moins chers du Royaume, le Standard et Dender proposent tous les deux une formule à 200€. Un tarif très abordable, mais qui ne comprend pas les play-offs.

Et ailleurs ?

Dans les autres clubs de Jupiler Pro League, comment est-ce que ça se passe ? On a évoqué le cas de l’Antwerp avec un abonnement de base à 375€. Le plus cher au Bosuil y est facturé 675€.

À l’Union, les tarifs varient entre 205€ et 440€. À Genk, on navigue entre 230€ et 620€ pour l’année. Le Beerschot propose, lui, des abonnements allant de 250€ à 390€. Une fourchette de prix dans laquelle se situe également Oud-Heverlee Louvain avec des tarifs variant entre 230€ et 400€. Quant à La Gantoise, on navigue entre 260€ et 590€.

Comme on peut le voir, tous les supporters ne sont pas logés à la même enseigne. Mais, quand on aime, on ne compte pas, non ?